Steffania
♠ Paroles : 6
| Sujet: Les écritures de la pyromane Mar 5 Nov - 15:48 | |
| Écritures de la pyromane Bonjour :p Oui je sais j'ai déjà une galerie avec Naki, mais c'est pour pas mélanger :) Donc voilà mes écritures, classées par Catégorie :) UTAU : 4 - La Mystérieuse Trahie (Avec Winder)
- Prologue (Chapitre 0):
Dans la forêt sombre d'UTAU-les-bois, une silhouette enfantine s’avançait. Elle fredonnait un air de musique tout en balançant ses jambes. « Tu-li-laaaa Tu-lu-laaaa Ta-li-laaa... » Sa voix robotique et mal prononcée était néanmoins douce mais froide. Du côté de la ville endormie, un coq chanta, réveillant un garçon aux cheveux bleus. Il se leva et passa une main dans ses cheveux.
« - Kao, Yui, Aki... Levez-vous vous allez être en retard... »
Il bailla puis s'habilla lentement, le visage encore endormi. Après ça, il alla manger, avec ses colocataires, quand il entendit une voix féminine et en colère.
« - Bougez-vous! Sinon je pars sans vous! »
La petite troupe se dépêcha et sauta dans la voiture. La plus mature d'eux, qui n'est autre que Hana, la grande sœur de Kao, Yui et Aki, les emmena au collège-lycée, Ecoloid. Mizuoto, était leur colocataire mais n'avait pas de liens familiaux avec eux.
Enfin arrivée, elle se gara devant l'établissement et fit sortir en vitesse ses jeunes amis. Elle repartit en vitesse.
Près de la Rue des Oto.Ini, Aelis, jeune chanteuse professionnelle, déjeunait tranquillement avec son ami, Haru, professeur au collège. Ils discutaient de tout et de rien, le soleil éclairant une porte menant à la chambre de leur jeune colocataire. La dite porte s'ouvrit violemment et il en sortit une jeune rousse aux yeux verdoyants.
« - Namidane-sensei, nous allons être en retard ! »
L'Homme de la maison enfila sa veste et partit avec Kami, sa jeune élève. La french lolita soupira puis décida de partir elle aussi, sur la scène.
Dans l'Avenue des UST, une voix féminine irritante s'éleva.
« - Non mais c'est quoi ce bordel! Jeffrey tu va me ranger ta chambre et vous les jumeaux vous allez vous bouger pour aller en cours! Exécution ! »
Les trois concernés soupirèrent et ils firent ce qui leur fut ordonné. Ils ne mirent pas longtemps à faire ce que la dominante du studio leur donna.
Au coin du Boulevard de l'OffVocal, Yuri et Tsuki, toutes deux Étudiantes à Ecoloid, couraient à en perdre le souffle. Heureusement pour elles, l'établissement était tout proche, elles furent arrivées avant même la sonnerie.
Et en ce qui concernait les étudiants des autres Rues et Impasse, ils étaient déjà à l'heure, chaque professeurs et surveillants de secteurs, étaient présents. Le directeur, Sekaine Ciel, prit la parole au micro.
« - Chers étudiants d'Ecoloid, aujourd'hui une information importante vient de nous être communiquée, une tempête se prépare et malheureusement elle risquerait de toucher l'établissement, je vous invite donc à rentrer à l'intérieur. Merci. »
Les étudiants se précipitèrent à l'intérieur, sauf un... Mizuoto. Il était là, assis, sur le banc face au paysage désastreux. La forêt était ravagée et le vent virulent se dirigeait vers lui. Le bâtis furent immergé par les souffles et les pluies mélangées aux grêles, certains crurent même que le toit n'aurait pas tenu. La tempête enfin dissipée, Haru courut vers l'extérieur, espérant voir le jeune turquoise en vie. Quand il fut dehors, il ne vit rien. Le corps de son élève avait disparu et il commençait à s'inquiéter.
« - Kirameku-san, où es-tu ?... »
Il n'eut pour réponse que son écho.
Retour dans la forêt, là où avait commencé l'incident. La même silhouette chantonnait la même mélodie... Encore et encore. Elle eut ensuite un petit rire.
« - Hi-hi-hi! Vi-ent jou-er av-ec m-oi ! - Qui... es-tu ? Répondit une voix faible. - J-e su-is... t-on p-ir-e cau-ch-mard ! »
L'ombre enlaça sa victime, qui s'évanouit sous le coup de la fatigue.
- Chapitre 1 : Soumission et Confession:
Dans la sombre et lugubre forêt d'UTAU-les-bois, la petite fille et sa victime se dirigèrent vers une sorte de grotte. Celle-ci paraissait vraiment très grande, la couleur foncé de la roche montrait à quel point l'eau y était abondante, la fraîcheur qui s'en dégageait laissait penser que cet endroit servait aussi de réfrigérateur, car la température stagnait entre moins dix et trois degrés Celsius.
La jeune enfant s'introduisit donc à l’intérieur, et y déposa le corps évanoui du jeune bleuté. Elle le regarda d'un air supérieur et hautement dangereux, ce qui laissait prévoir que notre agresseur était d'esprit viril. Avec un air posé mais sur-ses-gardes, elle s'assit sur une pierre proche de Mizuoto, pour le garder à vue d’œil.
Quand le garçon reprit ses esprit, il se massa la tête, comme si on lui avait assené un coup douloureux. Il fixa sa kidnappeuse et prit un air sérieux.
« - Qui es-tu ? »
La concernée leva la tête vers son interlocuteur et lui sourit, l'air de vouloir quelque chose.
« - Je suis...Appelle-moi Vahine.. »
Mizuoto la regarda de haut en bas. Ses cheveux étaient long et lisse, de couleur chocolat et coupés carrés au niveau du milieu de ses cuisses. Son seul œil visible était rouge sang et un peu bridé, la forme de son visage était fine et des blessures étaient présentes à l'endroit où est censé se trouver son œil gauche. Sa tenue était plutôt simple, une sorte de corset turquoise attaché à un collier épais de la même couleur, ses manches l'étaient aussi et recouvraient ses mains qui n'étaient donc pas visibles. Sa jupe se composait de vert clair et lui arrivait presque à mi-cuisse. Sa peau étaient recouverte de moisissure et d’hématomes, mais ce qui fit sursauter le jeune homme, ce fut les pieds de Vahine. Ils étaient grands et larges, surtout longs, ils faisaient la longueur de ses mollets, ils étaient métalliques et ressemblaient a ceux de cette certaine dérivée de Miku, Karune.
Dès lors, il prit peur et tenta de s'enfuir, sans succès. En effet, l'enfant viril qu'était cette fille le rattrapa sans difficulté. Elle le jeta au sol, dos à elle, et s'assit sur lui.
« - Si tu tente, ne serait-ce que de t'enfuir, tu meurs écrasé. Compris ? »
le concerné s'étouffait de plus en plus, il n’arrivait plus à bouger. Il la supplia alors de se lever, encore et encore, mais cette dernière s'appuyait d'avantage sur lui.
« - Tout ce que je veux entendre, c'est ton cri. » Fit-elle avec un sourire autre que rassurant.
Quand, enfin, il cria, elle se releva avec un air satisfait, et un petit rire vint jouer sur ses lèvres. Mizuoto se releva, tentant de reprendre son souffle, et s'avança vers Vahine qui le stoppa.
« - Dès à présent, tu m'appellera Maître. »
Il la regarda d'un air mécontent et s'énerva.
« - Et puis quoi encore ! Tu veux aussi que je te fasse prendre un bain ?! - Ce sera parfait, va préparer le bain. Et si tu ose me faire une remarque déplacée, je te tue. »
Il paniqua. Que pouvait-il bien faire dans une situation pareille ? Devait-il lui obéir tel un serviteur ou tenter de s'enfuir encore une fois ? Non. Le rôle de serviteur était bien plus sûr, quoi que, Mizuoto n'avait pas envie de voir son Maître nu.
XxXxXxXx
Après avoir préparé le bain, Mizuoto attendit son Maître devant le petit étang. Vahine lui avait donné des habits d'homme de ménage et, par pur plaisir, l'avait obligé à porter un cerf-tête de Maid. Quand cette dernière arriva, le bleuté se retourna dos à elle pour ne pas voir son corps.
« - Tu sera bien obligé de me regarder pour me faire prendre mon bain. »
Le serviteur eu un frisson à l'idée de la voir nue. Encore ça pourrait aller si elle était dans l'eau mais, comment être sûr qu'elle y est ?
« - Êtes-vous dans l'eau ? - Oui, tu peux venir. »
Il hésita, pensant que c'était un coup fourré, mais quand il se retourna, Vahine était bel et bien dans l'eau. Il s'avança, pris un gant de toilette, et frotta le dos de son Maître. Depuis son arrivée, il ne sentait qu'une atmosphère lugubre et dangereuse, alors que là, la fillette avait l'air plutôt triste et calme.
« - Quel est ton nom, Serviteur ?
- Kirameku, Mizuoto Kirameku.
- Très bien Mizuoto. J'ai quelque chose à te confier. »
Ce dernier sursauta. Elle qui était psychopathe auparavant était devenu douce et amicale. Ne sachant pas quoi faire, il arrêta son mouvement et s'assit près d'elle.
« - Connais-tu Hanabine Kagerou, jeune homme ?
- Euh, oui pourquoi ?
- Et bien, il se trouve que je l'aime. Elle sourit. Mais, j'ai du mal à me voir avec lui, car c'est un beau garçon, jeune et calme, alors que moi je suis laide, repoussante et dangereuse ! »
Sur ses dernière paroles, Vahine tomba en larmes. Elle se recroquevilla sur elle même et continua de pleurer. Mizuoto était complètement désorienté. L'aider ou ne pas l'aider ? Fuir et s'assurer de vivre ou faire le servant à en mourir ? Mais le problème, Mizuoto n'était pas comme ça, il n'aimait pas laisser des gens souffrir, même si ces derniers lui ont fait mal. Mal-à-l'aise face à ce dilemme, il prit instinctivement sa maitresse dans les bras. Inconsciemment, de petites larmes se mirent à couler sur ses joues. Quand l'enfant arrêta de verser sa cascade, elle fixa son serviteur dans les yeux et lui dit « Tu peux partir si tu le souhaite, je te retiendrais pas ».
Ce dernier exécuta son ordre, si on pouvait appeler ça comme ça. Il la laissa seule dans cet étang glacé, avec un pincement au coeur.
Creepypasta : (Violence / Gore !)
POISON - Julia Uther Innozenz Amaury / J.U.I.A
- Spoiler:
« - Aujourd'hui est un jour spécial... » dit une petite voix enfantine.
Cette enfant était assise contre le mur et jouait avec ses cheveux attachés en couettes. Ils étaient de couleur albinos, lisses et coupés carrés aux pointes, sauf à la frange. Sa robe verte était en faite un débardeur trop large, qui était peut-être son seul vêtement. Ses yeux sanguins rougeoyaient de plus belle et étaient doux.
Elle se leva finalement et se dirigea vers une fontaine au centre du village. Elle s'assit sur le bord et soupira de bien-être. Elle fixa le ciel avec tristesse puis jeta son regard sur l'eau transparente qui coulait. Elle se regarda dedans et constata que ses cheveux blancs étaient encore plus blanc. Elle lança une pièce puis fit un vœu.
D'un coup elle sentit une pression sur sa nuque, la poussant dans l'eau. Le splash du liquide bleu s'étendit tout le long de la fontaine. La jeune fille sortit sa tête et constata que c'était bel et bien une personne qui l'avait poussé. Elle semblait avoir de la fureur dans ses yeux.
« - Pourquoi t'as fait ça ?! »
La personne concernée sourit.
« - Tu sais bien que je t'ai toujours montré ce signe d'affection, J.U.I.A » Fit-il en rigolant.
L'albinos s'enfuit en direction de chez le coiffeur, là où elle était censé avoir rendez-vous.
Elle entra dans le bâtiment et pris place sur un fauteuil.
« - Bonjour mademoiselle. Fit une coiffeuse avec le sourire. Je vous fait comme d'habitude ?
- Oui, s'il te plait, Nadia. »
Nadia était la coiffeuse personnelle de J.U.I.A, et aussi, la seule a être autorisé à lui faire sa teinture mensuelle. Car la jeune enfant ne venait qu'une fois par mois pour faire sa teinture, haïssant sa couleur capillaire naturelle.
Après avoir discuté avec sa coiffeuse et s'être fait teinté les cheveux par cette dernière, J.U.I.A reparti dehors, en ayant pris comme réflexe, celui de payer. Elle gagnait son argent quand elle ramassait les ordures ou travaillait pour le salon de coiffure.
Sur le chemin, elle recroisa le garçon qui l'avait fait tomber dans la fontaine.
« - Nathan... qu'est-ce que tu me veux encore ?
- Rendez-vous demain à dix-huit heures trente précises devant la ruelle Jaune »
Elle n'eut pas le temps de riposter que le jeune homme était déjà loin, elle n'osa pas le rattraper.
Le lendemain, à l'heure indiquée par Nathan, J.U.I.A se retrouva à l'emplacement indiqué. Elle attendit deux ou trois minutes quand elle vit le garçon arriver. Cependant il n'était pas seul, trois autres personnes étaient là, avec lui. Quand elle leur demanda l'origine de ce rendez-vous, l'un d'eux lui répondit :
« - Suis-nous et tu verra. »
La fille aux orbes rougeoyants les suivit et arriva au bout de la ruelle, devant une porte. La bande lui fit signe d'entrer et referma la porte aussitôt derrière eux. Elle ne prit pas le temps de prendre la parole quand d'un coup, elle se retrouva projetée sur une table d'opération.
Le Chef de la bande lui dit qu'ils allaient prendre soins d'elle. Cette dernière senti ses poignets et ses chevilles se faire attacher. Elle eu un frisson et un mauvais pré-sentiment.
« - Qu'allez-vous me faire ? » Essaya-t-elle avec un ton sérieux.
Aucun d'eux ne répondit, pas même Nathan. Il était son ami, sa seule famille, malgré qu'il la taquinait toujours autant. Il se sentait impuissant face à eux, et c'était la raison pour laquelle il ne réagissait pas.
Quand l'un d'eux s'approcha de sa camarade, J.U.I.A commença à paniquer. Il saisit une bouteille de Javel, l'ouvrit et enfonça l'ouverture de la bouteille dans la voix buccale de la jeune albinos et fit couler le liquide toxique dans sa gorge.
La petite victime hurlait de douleur, tentait de se dégager de l'emprise de ses camarades mais, rien ne put l'aider. La bande la recouvrait de produit en tout genre, irritable, nocif, toxique et bien d'autres. La peau de J.U.I.A commençait à blanchir, ses yeux se mirent à fondre et à prendre une couleur marron-noire.
Des blessures apparurent sur ses épaules, ses bras et ses jambes, sa gorge lui faisait horriblement mal, elle n'arrivait plus à crier à cause de la douleur, sa voix devint rauque et elle crut que ses cordes vocales aller lâcher.
Soudain, elle ne senti plus rien. Sa peau ne lui faisait plus mal, sa gorge lui piquait juste un peu et malgré que ses yeux la laissèrent, elle semblait voir ses agresseurs mourir. Que se passait-il ? Pourquoi ses douleurs ne lui faisaient plus rien ? Tant de questions que la bleutée se posait. Elle senti quelqu'un la secouer, comme pour la réveiller ou la ramener à la vie.
« - J.U.I.A! Ne part pas, reste avec moi! J.U.I.A !
- Na...Nathan... ?
- Oui c'est moi, fit-il les larmes aux yeux, reste avec moi je t'en supplie... »
La petite fille commençait à tourner de l'œil, et par le reste de sa force, elle prit la bouteille de Javel, qui contenait encore du produit, puis l'avala, pensant mettre fin à sa douleur. Nathan s'enfuit, ne voulant pas que la police le suspecte ou l'interroge.
Extrait du journal Télévisé :
« Une jeune fille de dix ans a été retrouvée morte dans l'allée St Armorias, dont le corps a été recouvert de produit chimiques diverses, rendant le visage méconnaissable. Nos enquêteurs pensent à un assassinat. D'après certains témoignage, la victime se nommerait ''Julia Uther Innozenz Amaury'' et ne possèderait pas de famille. Nos équipes nous donnerons d'autres informations demain. »
Minuit quinze, dans la rue St Armorias, des cris et des pleurs retentissent. Une jeune femme d'environs la vingtaine, s'avance dans cette impasse. C'est alors qu'elle vit une silhouette courir vers elle en disant :
« - Madame j'ai peur, j'ai peur !
- Que se passe-t-il ? Et pourquoi es-tu dehors à cette heure-ci ? »
L'enfant ne répondit pas, et s'arrêta de pleurer. Elle leva la tête dévoilant son visage à la personne devant elle.
« - Je suis la jeune fille de dix ans, Julia Uther Innozenz Amaury, mais appelle-moi J.U.I.A. Enfin, ça ne sert plus à rien que tu m'appelle comme ça désormais... »
Le fantôme s'avança progressivement d'elle.
« - ADIEU... »
Bientôt arrivera celle de Steff the Killer et Chacachu ;) Hetalia :
Du grand Froid Jusqu'à Toi
- Spoiler:
Pair : Angleterre (Arthur Kirkland) x Porozovo (OC) (Szwetlana Halenwiscz)
Résumé : Porozovo a fait un cauchemar, et décide donc de rendre visite à son ami anglais. Et si nous retracions sa route ?
J'suis où là ? Grrr... Il fait tout noir, j'arrive à marcher mais je sais pas où je marche, c'est complètement bête. Ошибка* ! Si seulement j'arrivais à voir ! Aïe ! C'est quoi ça ? AAAAHHHHH ! Oh non ! Старший брат** ! Réveille-toi ! Pourquoi il y a tout ce sang sur toi ? Старший брат !
Szwetlana se réveilla en sursaut. Elle avait fait un cauchemar, et avait l'air un peu terrorisée, à l'idée de voir son dit grand frère, Russie, s'être fait tuer. Elle se leva, alla voir dans la chambre où ce dernier dormait, et vit que Biélorussie, la petite sœur du grand pays, s'était invitée à dormir ici.
« - Tant pis... Je n'ai qu'à aller voir Angleterre. » dit-elle en soupirant.
Angleterre était la seule personne que Porozovo connaissait, en dehors d'Italie, de Lettonie et de son tuteur, Russie. Elle prit alors son plumard et sorti de la maison, prenant soin de ne réveiller personne.
« - 'Fait froid... »
La jeune fille grelotait de tout son corps, tentant de se réchauffer grâce à ses mains.
« - Quelle idée de n'avoir prit que mon coussin ! Râla-t-elle. Tant pis, j'ai qu'à courir ! »
Elle se mit alors à courir, de toute son énergie, ne faisant qu'une dizaine de foulées pour arriver à la frontière de la Lettonie, grâce à sa capacité de doubler voir tripler sa vitesse. Elle fit une petite pause, vêtue d'un simple tee-shirt et d'un caleçon, faisant office de Pyjama.
Elle vit la nation, Lettonie, se balader en pleine rue, et décida donc de l'interpeller.
« - Oy, Ravis, que fais-tu debout à cette heure ?
- Oh bonjour mademoiselle Halenwiscz ! Eh bien je n'arrivais pas à dormir alors... »
Le fait qu'ils s’appelaient par leurs vrais noms, vient du fait qu'ils sont meilleurs amis. Les deux bruns allèrent s'asseoir sur un banc non loin.
« - Et toi ? Pourquoi es-tu debout à cette heure ?
- Oh, j'ai fais un cauchemar. Alors je me suis dis que je pouvais aller rendre visite à Angleterre.
- Si loin ? »
La jeune fille acquiesça et lui sourit tendrement, ça faisait longtemps qu'elle ne lui avait plus sourit comme ça. Elle lui dit qu'elle allait bientôt partir, car elle avait froid et envie d'être sous une tonne de couette. Elle le salua, et reparti, son coussin à la main, et prit sa vitesse maximale. Arrivée enfin en France, ne s'y attendant pas, elle trébucha et se prit un mur en pleine figure. Elle avait le nez en sang et la mâchoire qui la faisait souffrir. Elle tenta de se relever, mais tomba et ce fit le trou noir. Elle se réveilla dans un lit, ornés de draps blancs et soyeux, le nez couvert d'un pansement. Elle regarda les alentours, et vit une peinture d'une jeune femme aux cheveux blonds. Elle se leva et alla contempler cette œuvre. Elle lit le petit écriteau en dessous. ''Jeanne d'Arc''. Il ne lui fallu pas longtemps pour constater qu'elle se trouvait chez France. Elle chercha du regard son coussin et constata l'heure. ''Minuit Quinze'' mince ! C'est vrai que l'heure n'est pas la même ici. Justement c'est pratique, elle mettra à peu près moins de temps. Elle put enfin trouver son plumard et s'en alla par la fenêtre, laissant un mot de remerciement. Elle tenta de se remémorer les événements de cette nuit, de son cauchemar jusqu'à maintenant. Aller chez Angleterre. Voilà. Mais elle ne voulait pas encore le voir. Pourquoi ? Elle ne le savait pas, peut-être le fait que le blond puisse la rejeter en pleine nuit, ce qu'elle aurait compris. Elle se mit juste à marcher d'un pas hésitant jusqu'à la grande mer qui séparait le continent Européen de la Grande-Bretagne.
« - Il est quelle heure maintenant ? »
''une heure du matin''. Elle se trouvait enfin devant la grande étendue d'eau.
« - Si je cours assez vite... peut-être que j'arriverais à le traverser ? Ou sinon... »
Elle vit un bateau à rames près des côtes et décida de le voler, même si ce n'était pas dans ses habitudes. Elle se mit donc à ramer jusqu'aux côtes Anglaises, et arrivée jusque là, elle bailla un grand coup et jeta un œil à l'heure, indiquant deux heures moins le quart. Elle était fatiguée et essoufflée, ne pouvant plus trop tenir debout, elle se retint contre un mur. Il ne manquait plus qu'à retrouver sa maison et le tour était presque joué. Elle mit deux ou trois heures à chercher sa maison, se trouvant à Londres. Malgré sa grande vitesse niveau course, elle n'avait pas une grande capacité à réfléchir, ce qui ne l'aidait pas. Enfin devant la grande bâtisse, elle hésita à toquer, les rayons de soleil tapant ses épaules nues. Il était déjà quatre heures et demi du matin et le coq commençait déjà à chanter. Décidant enfin à ne pas toquer, elle contourna la maison pour trouver la fenêtre d'une chambre entre-ouverte. Elle escalada non sans mal la parois de la maison, le coussin tenu par les dents, et s'agrippa à la fenêtre. Elle entra dans la chambre, sans faire de bruit, cherchant un endroit assez tempéré pour se réchauffer. Elle vit enfin le lit de son doux blond et commença à s'y glisser. Le jeune anglais frémit en sentant le rafraîchissement brusque. Il se tourna vers la source, et y vit Szwetlana.
« - S-S... Porozovo, que fais-tu dans mon lit ?! Fit le beau jeune homme, rouge.
- J'ai fais un cauchemar... donc j'ai voulu te rendre visite et dormir avec toi... »
Son interlocuteur compatit, ce qui était rare envers elle. Il la prit dans ses bras pour la réchauffer et s'apprêta à se rendormir quand la petite villageoise parla.
« - Люблю тебя***, Arthur... »
Il comprit enfin la signification de cette phrase quand sa petite russe lui déposa un baiser sur la joue.
« - I love you too, Szwetlana... »
Nos deux tourtereaux s'endormirent dans les bras de l'autre et partirent aux pays des rêves.
* Ошибка : Mince
** Старший брат : Grand frère (Oui, Porozovo prends son tuteur comme frère)
*** Люблю тебя : Je t'aime
YAOI : (HARD !)
Dans la forêt je te prendrais - Spoiler:
Dans la magnifique bâtis près de l'eau, un jeune homme aux cheveux turquoises se réveilla. Il semblait mal éveillé, déjà par sa coupe qui était toute ébouriffée, et sa queue de cheval défaite. Il prit son portable pour regarder l'heure et se mit à paniquer.
treize heures cinquante ?! Je vais être en retard !
Il se précipitât dans sa salle de bain et se prépara rapidement. Fin prêt, le beau garçon se regarda dans la glace pour voir s'il n'avait pas oublié une mèche de cheveux ou autre. Il parti de chez lui à quatorze heures piles et se mit dans la direction du village voisin. En effet, sa meilleure amie lui avait fixé un rendez-vous sur la route entre UTAU-les-bois et YorkUTA City.
Il entendait des pas derrière lui, semblant le suivre, quand tout à coup, il se fit jeter dans la brousse, puis plaqué sur un arbre.
Il regarda qui était devant lui, et fut surpris de voir quelqu'un d'autre qu'elle.
Que me veux-tu Antenolis ? Fit-il avec froideur
Ohoho ! Rien de bien méchant mon ami !
Mizuoto essaya de se débarrasser de lui mais en vint. Son agresseur le jeta sur l'herbe, dos au sol, puis se mit à califourchon sur lui. Le bleu voulut riposter par la parole mais fut coupé par un baiser. Il mordit la langue qui s'était introduite dans sa voix buccale puis dit :
Que veux-tu à la fin !
Ta virginité ?
Antenolis commença par soulever le haut de son uke, puis suivit par lui caresser les abdo'. Malgré que le plus jeune semblait fin, il n'était pas pour autant maigre comme un moustique, au contraire, ses pectoraux étaient bien dessinés pour son âge, et sa musculature convenait aussi. Le brun retira le haut de sa proie et embrassa son cou. Il descendait petit à petit, mordillant ou léchant chaque parcelle de peau présente, recueillant des gémissements de la part du bleuté.
Il remonta et embrassa encore une fois ce dernier, et fit jouer sa langue avec la sienne, pendant qu'il lui retirait le bas.
Mizuoto gigota et inversa leurs positions. Il arracha les habits de l'homme aux prunelles bleues puis se dirigea vers son boxer.
Ah non, Mizu' ! C'est moi qui te prendra, pas l'inverse !
Antenolis fit basculer son amant sous lui et l'adossa contre un arbre. Il lui chuchota à l'oreille comme quoi il allait lui faire quelque chose qui lui plaira, puis lui enleva le dernier morceau de tissu qui recouvrait son érection. Il toucha du bout de son index le haut de sa verge, et récolta encore un gémissement de plaisir. Le jeune vairon cria de surprise quand son brun prit son sexe dans sa bouche.
Ce dernier faisait de lent va-et-viens, s'amusant à torturer de plaisir son uke qui empoigna de ses cheveux, lui demandant d'accélérer, ce qu'il exécuta. Quelques minutes après, Mizuoto jouit dans la bouche de son seme, puis le regarda avec des yeux vitreux.
Est-ce que ça t'a plu, beau gosse ?
Le concerné hocha positivement la tête, puis repris ses esprits. Il se jeta sur Antenolis et se mit à quatre pattes au-dessus de lui. Son regard avait changé, ses yeux innocents se transformèrent en des yeux féroces, comme s'il allait dévorer le jeune homme sous lui. Il lui enleva rapidement le boxer, quand le brun voulut reprendre le dessus, qui fut un échec total.
Désolé Ante', mais je peux plus attendre...
son interlocuteur acquiesça puis se prépara à recevoir la douleur. Mizuoto le pénétra doucement, essayant de limiter la souffrance d'Antenolis, Quand il fut entièrement en lui, il attendit un peu qu'il se détende, car il était un peu serré. Il embrassa son ainé à pleine bouche, l'apaisant. Enfin zen, le nouveau seme fit un lentement va-et-viens, le temps que son uke s'habitue à lui. Ce dernier gémissait entre douleur et plaisir, quémandant un baiser, de nouveau.
Mizuoto commença à accélérer, de plus en plus, puis toucha la prostate d'Antenolis, qui se courba de passion. Il continua jusqu'à que celui du dessous jouisse, puis jouit à son tour, se déversant en lui. Il se retira de son amant et se roula sur le côté, reprenant son souffle. Il prit un morceau de tissu déchiré et essuya le ventre du brun, qui s'était endormit, et le sien. Ne voulant pas qu'on les trouves ici, Mizuoto se rhabilla, puis mit le boxer à Antenolis, ajoutant sa veste pour ne pas qu'il attrape froid.
Il prit son uke dans les bras et alla vers sa maison, à l'extérieur du village et y déposa son amant, le rejoignant dans les bras de Morphée.
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